Après 5 heures de trajet en bus de Madrid à Bilbao, nous arrivons à 2 heures du matin à destination sans aucun lieu où loger. Déterminé à trouver un endroit confortable dans un parc voisin, nous nous sommes vite refroidis par les nuages gris et sombre... Donc, on est revenu sur nos pas et on a dormi à la dur sur les bancs de la gare routière.

Le matin, dur dur de réveiller Lolo…

Oui Mino, les fontaines à l’aube sont à couper le souffle…

Ensuite, on a décidé d’aller se balader dans la ville. Notre premier objectif ? Voir de nos yeux, le fameux musée Guggenheim... Et en vrai c’est vraiment surprenant...

Ci dessous, une photo volé de l’intérieur du musée. En effet, à cause d’une règle stupide on ne peut pas prendre de photos dans le musée. Dommage, parce que c’est bien beau.

La visite est relativement chère pour nos portefeuilles en cette fin d’InterRail (6€ pour les étudiants) et avec le peu de temps qu’il nous restait nous avons préféré découvrir Bilbao.

Je ne sais pas quelles sont les impressions de mes collègues, mais j’ai été plutôt surpris par la ville. J’ai toujours entendu parler de Bilbao comme une ville industrielle qui ne mérite pas qu’on s’y arrête. C’est absolument faux ! La ville entière semble être un exercice de nouvelles architectures. J’ai adoré le mélange entre les constructions de traditions basques et la modernité représentée par des édifices aux designs fous ! Par exemple, les bouches de métro et le théâtre Arriaga…

Finalement, j’ai laissé mes camarades au déjeuner pour attraper mon avion qui m’a ramené en France... petite larme...